C’est l’idée lancée et testée depuis 2012 par un délégué à la jeunesse australien qui anime désormais une troupe qui se produit un peu partout.
Initialement pensée pour les aborigènes australiens, Ludo Dumas a commencé à mettre le cirque au programme du collège local, et les effets se ressentent rapidement :
« L’entrainement au cirque requiert de l’entrainement, une répétitions régulière des même tours, et de la concentration. Dans une interview qu’il a donné, il rapporte que les équipes éducatives du collège ont remarqué une augmentation du degré d’attention des élèves.
Auparavant leur capacité d’attention était de 10 minutes. Les élèves sont désormais capable de rester concentrés jusqu’à 2 heures en cours d’anglais et 1h30 en cours de maths.
Le corps enseignant a aussi observé une meilleure estime de soi, respect des autres et une capacité à travailler ensemble. Ces résultats sont attribués aux activités de jonglage et autres acrobaties qui, bien que ludiques, demandent beaucoup d’attention. »
« Des parents ont aussi expliqué s’être tournés vers le cirque pour aider leur enfants dans la gestion d’un large spectre de pathologies : scolioses, troubles de l’attention avec hyperactivité, autisme, problèmes fonctionnels et nerveux, difficultés d’apprentissage, timidité, introversion, troubles de l’humeur et dépression. »
Vous pouvez lire l’article original ici (en anglais) :
Merci à Frodo Santini pour le lien !
Crédit photo : www.npywc.org.au/2014/02/ninja-circus/